Pas les tennismen en tout cas !


Ni les rugbymen australiens !
Même pas les joueurs de foot anglais !
Une page de partage sur tous les sujets, selon l'humeur de son auteur...sans tabou mais avec humour et (im)pertinence
Thomas Hog, Sune Svanakier pour le livret et les textes et Peter Spies pour la musique ont ainsi réalisé ce qui est devenu un classique scandinave et une fierté pour les amateurs de spectacles musicaux, tant au Danemark que de par le Monde : "Atlantis"!
Silvan, un jeune marin, tombe amoureux de Adalena, la fille du roi d'Atlantis, Atlas. pendant ce temps, le général Jabbadoor, revient victorieux d'une expédition et goûte fort l'accueil triomphal que lui fait le peuple.
L'ambitieux militaire va utiliser Silvan pour assassiner le roi, tenter d'épouser alors sa fille pour monter sur le trône. Le jeune marin s'enfuit pour échapper à la vindicte populaire.
Silvan va trouver refuge auprès des prêtres de la Cité et revenir pour se justifier, défier Jabbadoor, et retrouver les faveurs de sa belle qui n'a jamais douté de lui.
Les interprètes s'étaient auparavant illustrés dans des comédies musicales étrangères (Les Misérables, Chess, les oeuvres d'Andrew LLoyd Webber...) : ils sont tous très brillants et donnent corps et crédibilité à leurs personnages.
Kurt Ravn (Jabbadoor), Soren Launbjerg (Silvan) et Pernille Pettersson (Adalena) ont repris leurs rôles en 2002, pour une célébration officielle, à l'Opéra de Copenhague, avec orchestre symphonique.
On peut trouver la construction très classique et repérer ici et là des influences facilement détectables par l'amateur éclairé, mais l'ensemble des airs, plutôt "catchy" comme ils disent outre-Manche, et la conviction des chanteurs balayent les reproches aisément.
Émile Nelligan, (24 décembre 1879 - 18 novembre 1941), est un poète québécois né et décédé à Montréal.
En 1990, douze ans après leur succès de Starmania, Michel Berger et Luc Plamondon proposent un spectacle musical inspiré de la vie de James Dean.
Hélas, nous sommes en pleine Guerre du Golfe I et les salles de théâtre sont quasi désertes.
Pourtant, Diane Tell, Renaud Handson, Nanette Workman et Tom Novembre se donneront à fond dans une mise en scène somptueuse de Jérôme Savary.
Jamais la musique de Michel Berger n'a été aussi subtile et sophistiquée. Les textes de Luc Plamondon atteindront, pour une dernière fois dans un musical, à la quasi perfection.
Mais l'humeur du temps n'était pas à cette relecture d'un mythe, un peu décalée (Dean aurait vendu son âme au diable pour réussir et aurait préféré nettement les garçons qui gravitaient dans le milieu du cinéma...sacrilège, n'est-il pas ?) et terriblement romantique !
Restent de splendides images et des chansons...de légende :
Je cherchais un sujet pour ce jour de Noël et un courriel inattendu m'en a fourni la matière.
Kinny Gardner, c'est son nom, avec son compagnon (et co-fondateur de la troupe) Alaster Mcmillan - et depuis le décès de ce dernier avec Darren Cheek- aime les enfants et prend plaisir à sillonner les routes du pays pour les distraire.
On notera que les parents qui les accompagnent ne sont pas les derniers à apprécier les représentations...
Mais visitez plutôt le site de Krazy Kat pour en savoir plus...
"Je veux garder les yeux ouverts sur les souffrances, le malheur, la cruauté du monde; mais aussi sur la lumière, sur la beauté, sur tout ce qui nous aide à nous dépasser, à mieux vivre, à parier sur l'avenir"
à ma fille
Ma lande mon enfant ma bruyère
Ma réelle mon flocon mon genêt,
Je te regarde demain t’emporte
Où je ne saurais aller.
Ma bleue mon avril ma filante
Ma vie s'éloigne à reculons,
A toi les oiseaux et la lampe
A toi les torches et le vent.
Mon cygne mon amande ma vermeille
A toi l'impossible que j'aimais
A toi la vie, sel et soleil,
A toi, brève invitée.
L'homme
Tâte le sol
Avant d'y prendre racine
Puis entreprend
Sa marche oblique
Vers l'énigme des choses
Entre silence
Et bruits.
1° version
Je m'émerveille du rêve qui sonde l'avenir,
Des soifs que rien ne désaltère.
Que nous soyons chasseurs et gibiers à la fois,
Gladiateurs d'infini et captifs d'un mirage.
Les dés étant formels et la mort souveraine,
Je m'émerveille de croire en notre saison.
(...)
Avec mon sang aux mille oiseaux
J'ai marché tout au long de la terre
J'ai renié le temps
J'ai su parler à l'étranger
Peut on aimer à la folie le chocolat Lanvin et ne pas être fou ?
Il voulait marquer son époque, qu'on se souvienne de lui dans les siècles à venir.
Son admiration pour Franco ne pouvait qu'être prise au second degré : quoi, ce sont ses sbires qui ont fusillé Federico Garcia Lorca, l'amour de ses trente ans !
Le culte de la Gare de Perpignan, si ce n'est pas une magistrale gifle aux tenants des explications systèmiques du Monde, je ne sais pas ce que c'est !
L'argent était sa passion et il ne s'en cachait pas : là encore, on peut y voir une volonté, certes de se libérer des contingences habituellement liées à la condition de l'artiste, mais aussi le besoin de se soustraire, par la puissance financière, aux dictats des marchands d'art et des critiques qui ne comprirent pas toujours qu'il se jouait d'eux...
Après avoir chercher son style, c'est dans les années 30 qu'il se révèle enfin et ne cessera plus d'affuter son pinceau pour produire des oeuvres toujours plus puissantes et plus rafinées.
Ses trompe-l'oeil, ses toiles "mystiques" ou surréalistes sont autant de jalons d'un génie en perpétuel mouvement, en constante quète de renouvellement.
On sait peu qu'il a préparé avec Walt Disney, en 1965, une ébauche de dessin animé sur le thème d'Orphée, qui ne se réalisa jamais, le projet ayant été interompu par le décès du cinéaste.