Un lieu magique : La Ronde !
Parc d'attractions construit sur un ilot artificiel au centre du Saint Laurent ! Un régal pour petits et grands !
Insolite intérieur du 1001 La Gauchetière, immeuble de bureaux et de commerces : pleuvrait-il en son sein parfois ?
L'humour des québecois n'est pas une légende :
Jeux d'eau Place des Arts : par temps de canicule, c'est bien agréable !
Festival estival de Jazz.
Je vous ai déjà parlé d'elle et je ne pensais pas la retrouver à Montréal...
Le joli et reposant Parc Lafontaine :
Le surprenant dôme du Marché Bonsecours : un lieu idéal pour les amateurs d'artisanat d'art !
vendredi 31 octobre 2008
jeudi 30 octobre 2008
Spy groove
Voilà un dessin animé iconoclaste qui relate les aventures de deux agents secrets, ironiquement baptisés "Agent n°1" et "Agent n°2" !
Un blond et un brun, beaux gosses musclés et casse-cou, ils sont chargés par leur chef, "Helena Troy", une jeune femme métissée très sexy, de combattre le crime, incarné aussi bien par des affairistes sans scrupules que des savants fous, Mr Fish, Rock Debris, le Marquis de Guy ou les frères Xerxes...le tout sur fonds de gadgets d'apparence inutiles, mais dont les rebondissements de l'intrigue révèlent toujours la pertinence...et un décor parsemé de jolies filles peu farouches et aussi peu vêtues que les malabars bodybuildés entraperçus ça et là !
Les rapports entre les deux héros, bien que régulièrement conflictuels, un peu comme dans les cours de récréation des écoles maternelles, ne sont toutefois pas exempts d'ambigüité : bains en commun, couchage partagé dans le plus simple appareil...les retrouvailles de fin d'épisode, si elles demeurent sobres et viriles, montrent assez bien l'attachement qui les lie...
Bref, une série, trop tôt interrompue par les producteurs, à prendre au 23° degré, truffée d'allusions et de références cinématographiques et télévisuelles.
Un blond et un brun, beaux gosses musclés et casse-cou, ils sont chargés par leur chef, "Helena Troy", une jeune femme métissée très sexy, de combattre le crime, incarné aussi bien par des affairistes sans scrupules que des savants fous, Mr Fish, Rock Debris, le Marquis de Guy ou les frères Xerxes...le tout sur fonds de gadgets d'apparence inutiles, mais dont les rebondissements de l'intrigue révèlent toujours la pertinence...et un décor parsemé de jolies filles peu farouches et aussi peu vêtues que les malabars bodybuildés entraperçus ça et là !
Les rapports entre les deux héros, bien que régulièrement conflictuels, un peu comme dans les cours de récréation des écoles maternelles, ne sont toutefois pas exempts d'ambigüité : bains en commun, couchage partagé dans le plus simple appareil...les retrouvailles de fin d'épisode, si elles demeurent sobres et viriles, montrent assez bien l'attachement qui les lie...
Bref, une série, trop tôt interrompue par les producteurs, à prendre au 23° degré, truffée d'allusions et de références cinématographiques et télévisuelles.
mardi 28 octobre 2008
Santa Evita
Eva Duarte est née le 7 mai 1919 dans un village de la campagne argentine de la région de Cordoba, Los Toldos.
Fille naturelle d'un grand propriétaire terrien, elle sera marquée profondément par le rejet que lui manifestera la famille de son géniteur à sa mort : elle ne pourra pas suivre, même de loin, la cérémonie funèbre ! Sa haine de la grande bourgeoisie a peut être vu le jour à cette occasion...
Séduite par un saltimbanque du nom d'Agustin Magaldi, elle part pour la capitale pour y devenir une actrice.
Las, la vie dans la grande ville n'est pas si simple et elle survit en jouant de ses charmes.
De riches protecteurs en amants influents, elle parvient néanmoins à faire sa place dans le spectacle puis à la radio.
Politiquement, en ce mois de juin 1943, l'Argentine vient de connaitre un coup d'Etat militaire qui a renversé le président Castillo. La junte change vite de main et le Général Farell forme un gouvernement dans lequel on remarque un certain colonel Juan Domingo Peron.
Les vues de Peron sur la conduite de l'Etat trouvent un écho dans les convictions d'Eva et elle soutient son action de ministre du travail dans ses émissions de radio.
Un soir, son riche protecteur du moment, l'emmène à une soirée de gala où le colonel doit faire un discours. Eva s'arrange pour lui être présentée : c'est le coup de foudre et ils repartent ensemble !
La popularité croissante de Peron gène les militaires : il est destitué et emprisonné. Eva va mener à la radio une vibrante campagne de mobilisation des foules pour exiger sa libération : elle obtient gain de cause en janvier 1946, juste à temps pour les élections présidentielles !
Grace, en partie, à son aide, Juan Peron l'emporte aisément au mois de juin suivant.
Sans fonction officielle, elle va devenir l'éminence grise du régime : celle qui doit porter la voix des plus démunis auprès de Peron !
Populiste, Peron nationalise de grands secteurs de l'économie, au détriment, en particuliers, des intérets anglais. La classe moyenne qui s'enrichit alors, constitue le meilleur soutient du nouveau pouvoir.
Si elle se dévoue sincèrement pour les pauvres, Eva, comme son mari, devenu Général, conçoit son action comme les dames patronnesses du XIXème siècle : il s'agit plus de colmater les plaies béantes de la misère que de s'attaquer aux réformes de fonds qui pourraient améliorer durablement la situation.
Le régime, comme tous les gouvernements "forts", doit se durcir pour faire face aux critiques des milieux intellectuels et de la grande bourgeoisie.
La corruption gangrène peu à peu les institutions. Malgré tout, la cote du couple présidentiel est au zénith dans les milieux populaires.
En 1951, alors qu'il se prépare à se faire réélire, Peron souhaite imposer Eva comme vice-présidente. Refus brutal et absolu de l'armée : Eva prend les devant et décline par avance toute fonction officielle !
Une autre raison à cela : les premiers symptômes de la maladie sont apparus ! Le cancer finira par emporter la partie : Eva Duarte de Peron, Guide spirituel de la Nation, s'éteint le 26 juillet 1952. Elle n'a que 33 ans !
Des millions d'argentins déferlent sur Buenos Aires pour l'accompagner à sa dernière demeure, un mausolée où elle repose, embaumée pour l'éternité.
Peron se maintiendra au pouvoir encore 3 ans avant d'être chassé par les militaires. Il part en exil pour 20 ans, mais le peronisme semble bel et bien mort.
En 1976, alors que l'Argentine est à nouveau secouée par un putch militaire qui renverse le gouvernement d'Isabel Peron, la 3° épouse et veuve de l'ex-dictateur, deux anglais décident de raconter l'histoire d'Eva Peron sous forme d'un spectacle musical.
Andrew Lloyd-Webber, le compositeur, et Tim Rice, librettiste et parolier, déjà auteurs à succès de "Jesus Christ Superstar", se lancent dans un pari audacieux.
Avec l'aide du producteur Cameron Macintosh, ils réalisent, pour la première fois un concept-album du spectacle avant sa présentation sur scène! Une promotion sans précédent, des deux côtés de l'Atlantique et dans toute l'Europe continentale, assure à leur show un succès phénoménal !
Le premier extrait musical entrera dans la légende : "Don't cry for me Argentina" fera le tour de la Terre !
Mais l'innovation ne se limite pas au marketing :
avec "Evita", c'est l'actualité qui entre dans le monde de la comédie musicale.
En plus du divertissement, c'est une réelle réflexion sur le pouvoir, comment il se conquiert, comment il se perd aussi. Interrogation sur la vie, les choix individuels qui influent sur la marche du Monde, l'ambition, la force des convictions et ses limites...Sur le pragmatisme politique opposé à l'idéologie !
Que dire de la musique d'Andrew Lloyd-Webber ? Mi-rock, mi-symphonique, c'est la première comédie musicale vraiment contemporaine : plus musicale que "Hair" ou "Tommy", plus rock que tout ce qui a précédé...
Entre les balades romantiques, un tango, quelques morceaux rythmés, une valse et même une sorte de cantique...toute la palette d'un savoir faire que les années vont enrichir pour faire du génial enfant de Sydmington, l'Offenbach du XXème siècle !
La scène révèlera également au monde le talent d'Elaine Paige et de Patty LuPone, tour à tour incarnation de l'héroïne, à Londres comme à Broadway.
Le spectacle enchantera les spectateurs anglais pendant plus de 9 ans et les américains pendant presque 6 ans.
Aujourd'hui, "Evita" se joue, entre autre, aux Pays Bas après une reprise couronnée de succès au printemps à Londres.
Puis, vint le film...
Sans doute la plus belle - et peut être même la seule - composition de Madonna à l'écran !
Pour de nombreux amateurs - au premier rang desquels je suis - Eva Peron a, pour toujours, les traits et la voix de la Ciconne !
Antonion Banderas s'y révèle un très bon chanteur et l'excellent Jonathan Price y reprend le rôle de Peron qu'il avait créé en 1978.
La réalisation, sophistiquée et raffinée, d'Alan Parker fait le reste pour que "Evita - le film" soit la meilleure adaptation cinématographique d'un musical de tous les temps!
Alors, Eva Peron, une garce arriviste ou une quasi sainte ?
Si Lloyd-Webber penchait pour la première, Rice, lui accordait des circonstances atténuantes et optait plutôt pour la seconde.
Finalement, le spectacle ne choisit pas et nous présente les deux facettes d'une personnalité bien de son époque, complexe sentimentalement et ambigüe éthiquement...
Oh, what a circus ! : l'annonce du décès d'Evita
"Another suitcase in another hall", les difficiles débuts d'Eva à Buenos Aires
"Waltz for Eva and Che", dialogue entre Eva et Che, personnification du peuple argentin, sorte de Choeur à l'antique, sur la politique
Et pour finir, les argentins n'étant pas rancuniers, se sont appropriés le spectacle musical conçu autour de leur icône nationale par les "ennemis héréditaires" :
voici la superbe Paloma San Basilio dans sa version, bouleversante, du célèbrissime "Don't cry for me Argentina", ici traduite "No llores por mi Argentina"
Fille naturelle d'un grand propriétaire terrien, elle sera marquée profondément par le rejet que lui manifestera la famille de son géniteur à sa mort : elle ne pourra pas suivre, même de loin, la cérémonie funèbre ! Sa haine de la grande bourgeoisie a peut être vu le jour à cette occasion...
Séduite par un saltimbanque du nom d'Agustin Magaldi, elle part pour la capitale pour y devenir une actrice.
Las, la vie dans la grande ville n'est pas si simple et elle survit en jouant de ses charmes.
De riches protecteurs en amants influents, elle parvient néanmoins à faire sa place dans le spectacle puis à la radio.
Politiquement, en ce mois de juin 1943, l'Argentine vient de connaitre un coup d'Etat militaire qui a renversé le président Castillo. La junte change vite de main et le Général Farell forme un gouvernement dans lequel on remarque un certain colonel Juan Domingo Peron.
Les vues de Peron sur la conduite de l'Etat trouvent un écho dans les convictions d'Eva et elle soutient son action de ministre du travail dans ses émissions de radio.
Un soir, son riche protecteur du moment, l'emmène à une soirée de gala où le colonel doit faire un discours. Eva s'arrange pour lui être présentée : c'est le coup de foudre et ils repartent ensemble !
La popularité croissante de Peron gène les militaires : il est destitué et emprisonné. Eva va mener à la radio une vibrante campagne de mobilisation des foules pour exiger sa libération : elle obtient gain de cause en janvier 1946, juste à temps pour les élections présidentielles !
Grace, en partie, à son aide, Juan Peron l'emporte aisément au mois de juin suivant.
Sans fonction officielle, elle va devenir l'éminence grise du régime : celle qui doit porter la voix des plus démunis auprès de Peron !
Populiste, Peron nationalise de grands secteurs de l'économie, au détriment, en particuliers, des intérets anglais. La classe moyenne qui s'enrichit alors, constitue le meilleur soutient du nouveau pouvoir.
Si elle se dévoue sincèrement pour les pauvres, Eva, comme son mari, devenu Général, conçoit son action comme les dames patronnesses du XIXème siècle : il s'agit plus de colmater les plaies béantes de la misère que de s'attaquer aux réformes de fonds qui pourraient améliorer durablement la situation.
Le régime, comme tous les gouvernements "forts", doit se durcir pour faire face aux critiques des milieux intellectuels et de la grande bourgeoisie.
La corruption gangrène peu à peu les institutions. Malgré tout, la cote du couple présidentiel est au zénith dans les milieux populaires.
En 1951, alors qu'il se prépare à se faire réélire, Peron souhaite imposer Eva comme vice-présidente. Refus brutal et absolu de l'armée : Eva prend les devant et décline par avance toute fonction officielle !
Une autre raison à cela : les premiers symptômes de la maladie sont apparus ! Le cancer finira par emporter la partie : Eva Duarte de Peron, Guide spirituel de la Nation, s'éteint le 26 juillet 1952. Elle n'a que 33 ans !
Des millions d'argentins déferlent sur Buenos Aires pour l'accompagner à sa dernière demeure, un mausolée où elle repose, embaumée pour l'éternité.
Peron se maintiendra au pouvoir encore 3 ans avant d'être chassé par les militaires. Il part en exil pour 20 ans, mais le peronisme semble bel et bien mort.
En 1976, alors que l'Argentine est à nouveau secouée par un putch militaire qui renverse le gouvernement d'Isabel Peron, la 3° épouse et veuve de l'ex-dictateur, deux anglais décident de raconter l'histoire d'Eva Peron sous forme d'un spectacle musical.
Andrew Lloyd-Webber, le compositeur, et Tim Rice, librettiste et parolier, déjà auteurs à succès de "Jesus Christ Superstar", se lancent dans un pari audacieux.
Avec l'aide du producteur Cameron Macintosh, ils réalisent, pour la première fois un concept-album du spectacle avant sa présentation sur scène! Une promotion sans précédent, des deux côtés de l'Atlantique et dans toute l'Europe continentale, assure à leur show un succès phénoménal !
Le premier extrait musical entrera dans la légende : "Don't cry for me Argentina" fera le tour de la Terre !
Mais l'innovation ne se limite pas au marketing :
avec "Evita", c'est l'actualité qui entre dans le monde de la comédie musicale.
En plus du divertissement, c'est une réelle réflexion sur le pouvoir, comment il se conquiert, comment il se perd aussi. Interrogation sur la vie, les choix individuels qui influent sur la marche du Monde, l'ambition, la force des convictions et ses limites...Sur le pragmatisme politique opposé à l'idéologie !
Que dire de la musique d'Andrew Lloyd-Webber ? Mi-rock, mi-symphonique, c'est la première comédie musicale vraiment contemporaine : plus musicale que "Hair" ou "Tommy", plus rock que tout ce qui a précédé...
Entre les balades romantiques, un tango, quelques morceaux rythmés, une valse et même une sorte de cantique...toute la palette d'un savoir faire que les années vont enrichir pour faire du génial enfant de Sydmington, l'Offenbach du XXème siècle !
La scène révèlera également au monde le talent d'Elaine Paige et de Patty LuPone, tour à tour incarnation de l'héroïne, à Londres comme à Broadway.
Le spectacle enchantera les spectateurs anglais pendant plus de 9 ans et les américains pendant presque 6 ans.
Aujourd'hui, "Evita" se joue, entre autre, aux Pays Bas après une reprise couronnée de succès au printemps à Londres.
Puis, vint le film...
Sans doute la plus belle - et peut être même la seule - composition de Madonna à l'écran !
Pour de nombreux amateurs - au premier rang desquels je suis - Eva Peron a, pour toujours, les traits et la voix de la Ciconne !
Antonion Banderas s'y révèle un très bon chanteur et l'excellent Jonathan Price y reprend le rôle de Peron qu'il avait créé en 1978.
La réalisation, sophistiquée et raffinée, d'Alan Parker fait le reste pour que "Evita - le film" soit la meilleure adaptation cinématographique d'un musical de tous les temps!
Alors, Eva Peron, une garce arriviste ou une quasi sainte ?
Si Lloyd-Webber penchait pour la première, Rice, lui accordait des circonstances atténuantes et optait plutôt pour la seconde.
Finalement, le spectacle ne choisit pas et nous présente les deux facettes d'une personnalité bien de son époque, complexe sentimentalement et ambigüe éthiquement...
Oh, what a circus ! : l'annonce du décès d'Evita
"Another suitcase in another hall", les difficiles débuts d'Eva à Buenos Aires
"Waltz for Eva and Che", dialogue entre Eva et Che, personnification du peuple argentin, sorte de Choeur à l'antique, sur la politique
Et pour finir, les argentins n'étant pas rancuniers, se sont appropriés le spectacle musical conçu autour de leur icône nationale par les "ennemis héréditaires" :
voici la superbe Paloma San Basilio dans sa version, bouleversante, du célèbrissime "Don't cry for me Argentina", ici traduite "No llores por mi Argentina"
lundi 27 octobre 2008
Montréal - 1
Pendant les quatre ans que mon ami Jean Marc a passé à Montréal, je suis venu lui rendre visite à 3 reprises : 2004, 2005 et 2006.
Sans une attaque virale massive, je serais venu en 2007 également.
Outre la joie de le voir, je dois avouer que j'ai vraiment beaucoup aimé cette ville : les promenades que j'y ai fait, les gens que j'y ai rencontré, les lieux et les évènements que j'ai pu admirer, dans la métropole aussi bien que dans les environs...
Jean Marc a su, bien mieux que je ne pourrais le faire, rendre par ses photos la vie quotidienne de Montréal et ses moments extra-ordinaires.
Toutefois, il est des endroits que j'affectionne tout particulièrement. En voici quelques uns :
Cette incroyable statue, au pied du siège de la BNP : "La Foule Illuminé". Voilà bien une oeuvre qui me fascine comme peu en sont capables... Je ne me lasse pas de contempler et dévisager encore les personnages de cette composition, leurs postures, leurs regards, leurs gestes et leurs cris muets... parabole sur l'humanité, sa grandeur et ses faiblesses, son goût de l'aventure et sa lâcheté endémique !
Une autre chose qui me ravit à Montréal, c'est ce contraste constant et assumé entre l'architecture moderne triomphante et les vestiges de l'histoire pourtant récente.
Deux places mythiques de la ville : aussi dissemblables qu'il est possible : La Place des Arts, son opéra, son musée d'art moderne et la Place Jacques Cartier, au coeur de la vieille ville, devant l'imposant Hotel de Ville :
Qui a dit que les constructions modernes ne sont pas photogéniques ?
Hommage à Jean Drapeau, le Maire des Jeux Olympiques !
Plaisir toujours renouvelé de la promenade sur le Vieux Port, avec au fonds, le Marché Bonsecours...
Les bassins, les bateaux....
Personnage incontournable de la vie des parcs et jardins de Montréal : l'écureuil !
Une de ces innombrables fresques qui nous changent des affreux tags parisiens et qui prouvent que, oui, l'art de rue peut être beau à voir...
Sans une attaque virale massive, je serais venu en 2007 également.
Outre la joie de le voir, je dois avouer que j'ai vraiment beaucoup aimé cette ville : les promenades que j'y ai fait, les gens que j'y ai rencontré, les lieux et les évènements que j'ai pu admirer, dans la métropole aussi bien que dans les environs...
Jean Marc a su, bien mieux que je ne pourrais le faire, rendre par ses photos la vie quotidienne de Montréal et ses moments extra-ordinaires.
Toutefois, il est des endroits que j'affectionne tout particulièrement. En voici quelques uns :
Cette incroyable statue, au pied du siège de la BNP : "La Foule Illuminé". Voilà bien une oeuvre qui me fascine comme peu en sont capables... Je ne me lasse pas de contempler et dévisager encore les personnages de cette composition, leurs postures, leurs regards, leurs gestes et leurs cris muets... parabole sur l'humanité, sa grandeur et ses faiblesses, son goût de l'aventure et sa lâcheté endémique !
Une autre chose qui me ravit à Montréal, c'est ce contraste constant et assumé entre l'architecture moderne triomphante et les vestiges de l'histoire pourtant récente.
Deux places mythiques de la ville : aussi dissemblables qu'il est possible : La Place des Arts, son opéra, son musée d'art moderne et la Place Jacques Cartier, au coeur de la vieille ville, devant l'imposant Hotel de Ville :
Qui a dit que les constructions modernes ne sont pas photogéniques ?
Hommage à Jean Drapeau, le Maire des Jeux Olympiques !
Plaisir toujours renouvelé de la promenade sur le Vieux Port, avec au fonds, le Marché Bonsecours...
Les bassins, les bateaux....
Personnage incontournable de la vie des parcs et jardins de Montréal : l'écureuil !
Une de ces innombrables fresques qui nous changent des affreux tags parisiens et qui prouvent que, oui, l'art de rue peut être beau à voir...
vendredi 24 octobre 2008
Croatia 2008
Au regard de sa superficie, la Croatie est peut être le pays d'Europe qui compte le plus de sites classés aux Patrimoines de l'UNESCO ! Patrimoine de l'Humanité pour les édifices, Patrimoine Naturel pour les merveilles sauvages de ses paysages !
La vieille ville de Sibenik en fait partie :
On sait désormais où Superman prend ses vacances...Amis meldois, ça vous rappelle quelque chose ?
Bord de mer près de l'hôtel...Reconstitution d'un village dalmate :
Autre cité classée par l'UNESCO : Split, la ville de Dioclétien !
Le port et le front de merUne "piazza" façon vénitienne :La population laborieuse :
Les vestiges du Palais de l'Empereur, transformés en église :Non, ce n'est pas le magicien de "Fantasia", c'est un brave évêque, évangélisateur de la région...
La Croatie, c'est l'autre pays des ours : ici, on ne comprend pas la méfiance des français envers cet animal...Merveille de la Nature : Les lacs de Plitvice ! Oui, oui, classés eux aussi !
Encore une ville au répertoire : Trogir, cité médiévale, fortifiée par Venise pour contrer les éventuelles attaques des Ottomans...L'ile de Hvar a bien faillit devenir un paradis pour la Jet set : heureusement, les insulaires et leurs élus ont préférés faire classer leur ile pour préserver leur qualité de vie et en faire profiter le touriste lambda ! Gloire leur soit rendue !
La vieille ville de Sibenik en fait partie :
On sait désormais où Superman prend ses vacances...Amis meldois, ça vous rappelle quelque chose ?
Bord de mer près de l'hôtel...Reconstitution d'un village dalmate :
Autre cité classée par l'UNESCO : Split, la ville de Dioclétien !
Le port et le front de merUne "piazza" façon vénitienne :La population laborieuse :
Les vestiges du Palais de l'Empereur, transformés en église :Non, ce n'est pas le magicien de "Fantasia", c'est un brave évêque, évangélisateur de la région...
La Croatie, c'est l'autre pays des ours : ici, on ne comprend pas la méfiance des français envers cet animal...Merveille de la Nature : Les lacs de Plitvice ! Oui, oui, classés eux aussi !
Encore une ville au répertoire : Trogir, cité médiévale, fortifiée par Venise pour contrer les éventuelles attaques des Ottomans...L'ile de Hvar a bien faillit devenir un paradis pour la Jet set : heureusement, les insulaires et leurs élus ont préférés faire classer leur ile pour préserver leur qualité de vie et en faire profiter le touriste lambda ! Gloire leur soit rendue !
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