mercredi 23 janvier 2013

Dark City

Voilà un formidable film américano-australien, réalisé en 1998 par le producteur-scénariste et metteur en scène australien Alex Proyas.
Présenté en sélection officielle à Cannes cette même année, ce long métrage de science fiction à la réalisation soignée propose un scénario élaboré et original qui mêle très habilement fantastique et thriller.
En voici la bande annonce :


Pas assez explicite ?
Voici le "pitch" comme on dit en branché :

Dans une salle de bain, un homme sur le front duquel perle une goutte de sang, dans une baignoire. Une lampe vacille, l'homme se réveille. Confusion et incompréhension sont alors son lot lorsqu'il s'aperçoit qu'il est dans un étrange hôtel et qu'il est recherché pour des meurtres dont il n'a aucun souvenir. Dans sa quête d'identité et de mémoire, il apprend qu'il s'appelle John Murdoch et qu'il est poursuivi par un détective du nom de Bumstead. Bientôt, il comprend que les choses ne sont pas comme elles devraient être lorsqu'il voit la ville entière s'endormir brusquement et que tout se transforme : les rues se modifient, les maisons changent d'apparence et les gens de costumes. C'est alors qu'apparaissent les « Étrangers ».

Un film de sf qui joue autant sur l'atmosphère que sur les effets spéciaux, sur le jeu des acteurs que sur les astuces de l'histoire et ses retournements. Prenant et atypique, "Dark City" mérite beaucoup mieux que le succès d'estime qui est le sien.

Une distribution de grande classe (Rufus Sewell, William Hurt et Kiefer Sutherland), parfaite, et une musique signée Trevor Jones...mais il vaut mieux l'écouter !


Pour vous inciter à découvrir ce chef d'oeuvre, voici le début :



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