C'est une très jolie chanson, interprétée par un duo insolite :
Viktor Lazlo, de son vrai nom Sonia Dronier, est née à Lorient en 1960, d'un père martiniquais et d'une mère grenadienne. Elle doit son pseudonyme au personnage du film "Casablanca", Victor Laszlo.
Chanteuse, elle est également comédienne de cinéma comme de télévision.
Biagio Antonacci, est né en 1963 à Milan. S'il est très tôt attiré par la musique, ce n'est qu'en 1989, qu'il publie un disque qui le fait connaitre du grand public.
Avec l'appui d'Eros Ramazzotti, son troisième album en fait une vedette à part entière.
Le mélange des voix s'harmonise comme rarement et emporte l'auditeur dans ses souvenirs et/ou ses rêves...
dimanche 28 février 2010
samedi 27 février 2010
Rick

L'auteur et sa créature

En voici quelques planches :










vendredi 26 février 2010
Monsieur Cyclopède
Entre 1982 et 1984, pour une centaine d'émissions quotidiennes, France 3 (à l'époque FR3) s'illustra par une polémique née de la diffusion de "La Minute Nécessaire de Monsieur Cyclopède".
Conçue par Pierre Desproges et réalisée par Jean-Louis Fournier, cet ovni télévisuel, précurseur des programmes courts comme "Caméra Café", "Un Gars, Une Fille" et autres "Samantha", était un concentré d'humour noir, de comique absurde et de dérision anticonformiste, parfaitement incorrecte politiquement !
Inutile de dire qu'elle en irrita plus d'un et pas seulement chez les bourgeois bien pensants...
Voici trois exemples décapants d'un humour inconcevable aujourd'hui sur un média quelconque :
"Voyons si la Sainte Vierge est malpolie"
"Sachons distinguer une balle à blanc d'une balle à noir"
"Chassons le naturel pour voir s'il revient"
Conçue par Pierre Desproges et réalisée par Jean-Louis Fournier, cet ovni télévisuel, précurseur des programmes courts comme "Caméra Café", "Un Gars, Une Fille" et autres "Samantha", était un concentré d'humour noir, de comique absurde et de dérision anticonformiste, parfaitement incorrecte politiquement !
Inutile de dire qu'elle en irrita plus d'un et pas seulement chez les bourgeois bien pensants...
Voici trois exemples décapants d'un humour inconcevable aujourd'hui sur un média quelconque :
"Voyons si la Sainte Vierge est malpolie"
"Sachons distinguer une balle à blanc d'une balle à noir"
"Chassons le naturel pour voir s'il revient"
jeudi 25 février 2010
Louis II
L'histoire se passe dans un ancien royaume d'Europe. Joli drapeau, non ?
Ce royaume, la Bavière (Bayern dans la langue locale) fut gouverné par un souverain bien particulier, Ludwig II
Beau garçon hein ? Issu de la vénérable famille des Wittelsbach, il était un cousin d' Elisabeth d'Autriche, la fameuse Sissi.
Il monte sur le trône en 1864, à la mort de son père Maximilien II. Il a 18 ans.
Amateur d'art, et féru de musique en particulier, il vouait un véritable culte à Richard Wagner...
Il puisa d'ailleurs largement dans les finances publiques pour entretenir son protégé au grand dam de ses ministres.
Sa fragilité psychologique le rendait neurasthénique et pour tromper son ennui et sa langueur de vivre, il donnait des fêtes somptueuses et fit construire des palais de rêve, comme celui de Neuschwanstein.
Si à l'époque, ce genre de fantaisie fit scandale, aujourd'hui les responsables du tourisme bavarois lui en sont gré.
Fiancé un temps à la duchesse Sophie-Charlotte en Bavière, il repoussa plusieurs fois le mariage pour diverses raisons et finalement rompit avec elle.
Son tempérament le poussant à vivre en reclus, uniquement entouré de militaires, secrétaires et aides de camp, certains historiens lui ont prêté des tendances homosexuelles, toutefois jamais clairement établies.
Son désintérêt pour les affaires d'Etat contraint le gouvernement à le déclarer fou et à le démettre en 1886. Il est interné au château de Berg.
C'est là que le roi se noie, lors d'une promenade nocturne en barque sur le lac de Starnberg en compagnie de son médecin psychiatre, Bernhard von Gudden.
Le grand cinéaste italien Luchino Visconti a mis en scène en 1972 cette existence romantique hors norme dans un très beau et long film avec le très séduisant Helmut Berger dans le rôle de Ludwig.
En 2005, une comédie musicale de facture très classique mais de très bonne tenue, propose sa version de la vie du légendaire roi-fou.
Rolf Rettberg pour le livret et les textes, Konstantin Wecker et Christopher Franke pour la musique en sont les maîtres d'oeuvre.
Mein Ritter
Kalte Sterne


Il monte sur le trône en 1864, à la mort de son père Maximilien II. Il a 18 ans.
Amateur d'art, et féru de musique en particulier, il vouait un véritable culte à Richard Wagner...
Il puisa d'ailleurs largement dans les finances publiques pour entretenir son protégé au grand dam de ses ministres.
Sa fragilité psychologique le rendait neurasthénique et pour tromper son ennui et sa langueur de vivre, il donnait des fêtes somptueuses et fit construire des palais de rêve, comme celui de Neuschwanstein.

Fiancé un temps à la duchesse Sophie-Charlotte en Bavière, il repoussa plusieurs fois le mariage pour diverses raisons et finalement rompit avec elle.
Son tempérament le poussant à vivre en reclus, uniquement entouré de militaires, secrétaires et aides de camp, certains historiens lui ont prêté des tendances homosexuelles, toutefois jamais clairement établies.
Son désintérêt pour les affaires d'Etat contraint le gouvernement à le déclarer fou et à le démettre en 1886. Il est interné au château de Berg.
C'est là que le roi se noie, lors d'une promenade nocturne en barque sur le lac de Starnberg en compagnie de son médecin psychiatre, Bernhard von Gudden.

En 2005, une comédie musicale de facture très classique mais de très bonne tenue, propose sa version de la vie du légendaire roi-fou.
Rolf Rettberg pour le livret et les textes, Konstantin Wecker et Christopher Franke pour la musique en sont les maîtres d'oeuvre.
Mein Ritter
Kalte Sterne
mercredi 24 février 2010
mardi 23 février 2010
Zaha Hadid

Quelques unes de ses réalisations,
Musée Maritime de Calgari




En cours de réalisation :
Opéra d'Abou Dhabi




Campus de l'Université de Barcelone




Elle a reçu le prestigieux Prix Prizker pour l'ensemble de son oeuvre et a eu l'honneur d'une rétrospective au Musée Guggenheim de New York.
dimanche 21 février 2010
Enid Blyton

Née à East Dulwich, une banlieue de Londres en 1897 cette romancière britannique est la mère d'une progéniture pléthorique.
Enseignante, elle consacra ses loisirs à l'écriture, tout particulièrement la littérature pour la jeunesse.
C'est au début des années 40 qu'elle créé "The Famous Five", traduit en français par "Le Club des Cinq"



Plus de 800 titres en 40 ans, traduits 3300 fois dans 40 langues différentes.
Enid Blyton est le cinquième écrivain le plus traduit au monde.
Au total 400 millions d'exemplaires de ses livres ont été publiés sur la planète !

Ses romans resteront à jamais pour moi la marque de la découverte du plaisir de la lecture.
J'ai dévoré la collection complète du Club des Cinq de la Bibliothèque Rose de Hachette dans les années 60.
L'aventure, le suspens, l'amour des animaux, la défense des faibles et des différents (gitans, pauvres, étrangers, personnes au genre indécis...) et les paysages dans lesquels se déroulaient les aventures des enfants, tout en étant familiers prenaient facilement des allures fantastiques...
Deux adaptations télévisées, en 1977 puis en 1996 par la BBC ont achevées la popularisation de la série "The Famous Five" :

1996
Enfin, en 2003, une série animée a vu le jour :
Les 5 sont immortels et intemporels...tant mieux pour les générations futures !

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