Je vais vous présenter une série télévisée québécoise, inconnue chez nous.
"La vie, la vie" est née courant 2000 par la grâce de Stéphane Bourguignon.
Diffusé chaque lundi, du 8 janvier 2001 au 15 avril 2002 sur Radio-Canada Ce téléroman compte 39 épisodes de 22 minutes et a été réalisé par Patrice Sauvé.
La Vie, la vie raconte l’histoire de cinq adultes, drôles, intelligents et sexy, unis par les liens sacrés de l’amitié, qui tentent ensemble d’améliorer leurs vies amoureuses et professionnelles.
On y suit Simon (Patrick Labbé), 32 ans, qui partage sa vie depuis quatre ans avec Marie (Julie McClemens), 34 ans.
Ils tentent de faire un enfant entre les heures supplémentaires du premier et les dépressions passagères de la seconde. Leur quotidien est également rythmé par les problèmes de Vincent (Normand Daneau), 30 ans, et son incapacité chronique d'établir une relation amoureuse durable ou ceux de Claire (Macha Limonchik), 29 ans, qui cherche désespérément comment « dresser » son amant.
Il y a aussi Jacques (Vincent Graton), 38 ans, le grand frère gay de Marie, qui gère un bar café où toute la bande se réunit le plus souvent possible.
Entre tendresse et humour, bonheurs et petits drames de l'existence, cette mini saga est un bijou : la mise en scène précise et moderne, la lumière et les décors qui rendent Montréal encore plus belle, et les dialogues qui sonnent vrais, qui rendent les personnages attachants, si loins des hystériques de Friends dont ils partagent pourtant les mêmes aléas...
C'est mon ami Jean-Marc qui m'a fait découvrir cette série lors d'une visite que je lui faisais pendant son séjour à Montréal, en 2004. J'ai acheté l' intégrale en dvd et je m'en félicite encore aujourd'hui.
Si vous la trouvez sur un site marchand, n'hésitez pas !
dimanche 10 juillet 2011
vendredi 8 juillet 2011
Le Clezio
Jean Marie Gustave Le Clézio est un écrivain franco-mauricien, né le 13 avril 1940 à Nice.
Ses premières oeuvres sont marquées par une recherche formelle inspirée par le Nouveau Roman.
Puis, à la fin des années 70, influencé par ses nombreux voyages et sa découverte des cultures amérindiennes, son écriture est fortement teintée d'onirisme et fait la part belle aux mythes.
Enfin, une part autobiographique et familiale se fait jour dans ses derniers ouvrages.
Le Prix Nobel de Littérature lui est décerné en 2008,
en tant qu’« écrivain de nouveaux départs, de l’aventure poétique et de l’extase sensuelle, explorateur d’une humanité au-delà et en dessous de la civilisation régnante. »
Désert
Ils étaient les hommes et les femmes de sable, du vent, de la lumière, de la nuit. Ils étaient apparus, comme dans un rêve, en haut d’une dune, comme s’ils étaient nés du ciel sans nuages, et qu’ils avaient dans leurs membres la dureté de l’espace. Ils portaient avec eux la faim, la soif qui fait saigner les lèvres, le silence dur où luit le soleil, les nuits froides, la lueur de la Voie lactée, la lune ; ils avaient avec eux leur ombre géante au coucher du soleil, les vagues de sable vierge que leurs orteils écartés touchaient, l’horizon inaccessible. Ils avaient surtout la lumière de leur regard, qui brillait si clairement dans la sclérotique de leurs yeux.
Le troupeau des chèvres bises et des moutons marchait devant leurs enfants. Les bêtes aussi allaient sans savoir où, posant leurs sabots sur des traces anciennes. Le sable tourbillonnait entre leurs pattes, s’accrochait à leurs toisons sales. Un homme guidait les dromadaires, rien qu’avec la voix, en grognant et en crachant comme eux. Le bruit rauque des respirations se mêlait au vent, disparaissait aussitôt dans les creux des dunes, vers le sud. Mais le vent, la sécheresse, la faim n’avaient plus d’importance. Les hommes et le troupeau fuyaient lentement, descendaient vers le fond de la vallée sans eau, sans ombre.
Celui qui n'avait jamais vu la mer
La mer était belle ! Les gerbes blanches fusaient dans la lumière, très haut et très droit, puis retombaient en nuages de vapeur qui glissaient dans le vent. L’eau nouvelle emplissait les creux des roches, lavait la croûte blanche, arrachait les touffes d’algues. Loin, près des falaises, la route blanche de la plage brillait. Daniel pensait au naufrage de Sindbad, quand il avait été porté par les vagues jusqu’à l’île du roi Mihrage, et c’était tout à fait comme cela, maintenant. Il courait vite sur les rochers, ses pieds nus choisissaient les meilleurs passages, sans même qu’il ait eu le temps d’y penser. C’était comme s’il avait vécu ici depuis toujours, sur la plaine du fond de la mer, au milieu des naufrages et des tempêtes.
Il allait à la même vitesse que la mer, sans s’arrêter, sans reprendre son souffle, écoutant le bruit des vagues. Elles venaient de l’autre bout du monde, hautes, penchées en avant, portant l’écume, elles glissaient sur les roches lisses et elles s’écrasaient dans les crevasses. Le soleil brillait de son éclat fixe, tout près de l’horizon. C’était de lui que venait toute cette force, sa lumière poussait les vagues contre la terre. C’était comme une danse qui ne pouvait pas finir, la danse du sel quand la mer était basse, la danse des vagues et du vent quand le flot remontait vers le rivage.
Ses premières oeuvres sont marquées par une recherche formelle inspirée par le Nouveau Roman.
Puis, à la fin des années 70, influencé par ses nombreux voyages et sa découverte des cultures amérindiennes, son écriture est fortement teintée d'onirisme et fait la part belle aux mythes.
Enfin, une part autobiographique et familiale se fait jour dans ses derniers ouvrages.
Le Prix Nobel de Littérature lui est décerné en 2008,
en tant qu’« écrivain de nouveaux départs, de l’aventure poétique et de l’extase sensuelle, explorateur d’une humanité au-delà et en dessous de la civilisation régnante. »
Désert
Ils étaient les hommes et les femmes de sable, du vent, de la lumière, de la nuit. Ils étaient apparus, comme dans un rêve, en haut d’une dune, comme s’ils étaient nés du ciel sans nuages, et qu’ils avaient dans leurs membres la dureté de l’espace. Ils portaient avec eux la faim, la soif qui fait saigner les lèvres, le silence dur où luit le soleil, les nuits froides, la lueur de la Voie lactée, la lune ; ils avaient avec eux leur ombre géante au coucher du soleil, les vagues de sable vierge que leurs orteils écartés touchaient, l’horizon inaccessible. Ils avaient surtout la lumière de leur regard, qui brillait si clairement dans la sclérotique de leurs yeux.
Le troupeau des chèvres bises et des moutons marchait devant leurs enfants. Les bêtes aussi allaient sans savoir où, posant leurs sabots sur des traces anciennes. Le sable tourbillonnait entre leurs pattes, s’accrochait à leurs toisons sales. Un homme guidait les dromadaires, rien qu’avec la voix, en grognant et en crachant comme eux. Le bruit rauque des respirations se mêlait au vent, disparaissait aussitôt dans les creux des dunes, vers le sud. Mais le vent, la sécheresse, la faim n’avaient plus d’importance. Les hommes et le troupeau fuyaient lentement, descendaient vers le fond de la vallée sans eau, sans ombre.
Celui qui n'avait jamais vu la mer
La mer était belle ! Les gerbes blanches fusaient dans la lumière, très haut et très droit, puis retombaient en nuages de vapeur qui glissaient dans le vent. L’eau nouvelle emplissait les creux des roches, lavait la croûte blanche, arrachait les touffes d’algues. Loin, près des falaises, la route blanche de la plage brillait. Daniel pensait au naufrage de Sindbad, quand il avait été porté par les vagues jusqu’à l’île du roi Mihrage, et c’était tout à fait comme cela, maintenant. Il courait vite sur les rochers, ses pieds nus choisissaient les meilleurs passages, sans même qu’il ait eu le temps d’y penser. C’était comme s’il avait vécu ici depuis toujours, sur la plaine du fond de la mer, au milieu des naufrages et des tempêtes.
Il allait à la même vitesse que la mer, sans s’arrêter, sans reprendre son souffle, écoutant le bruit des vagues. Elles venaient de l’autre bout du monde, hautes, penchées en avant, portant l’écume, elles glissaient sur les roches lisses et elles s’écrasaient dans les crevasses. Le soleil brillait de son éclat fixe, tout près de l’horizon. C’était de lui que venait toute cette force, sa lumière poussait les vagues contre la terre. C’était comme une danse qui ne pouvait pas finir, la danse du sel quand la mer était basse, la danse des vagues et du vent quand le flot remontait vers le rivage.
jeudi 7 juillet 2011
Pinocchio
Difficile de se défaire de l'imagerie Disney quand on parle de Pinocchio.
Comme d'autres héros de contes pour la jeunesse, les dessins animés de la firme américaine ont marqué profondément l'imaginaire collectif.
Né en 1881 sous la plume de Carlo Collodi (Carlo Lorenzini, 1826-1890) le petit pantin de bois doit son nom à un mot toscan qui signifie pignon (de pin).
Il a connu, avant Disney, de nombreuses illustrations :
et bien sur de multiples adaptations scéniques et cinématographiques.
En 2002, le groupe pop Pooh adapte l'histoire pour en faire une comédie musicale.
Roby Facchinetti, Dodi Battaglia, Stefano d'Orazio et Red Canzian signent paroles et musique.
Voici le début du spectacle tel que retransmis par la RAI en 2007 :
Comme d'autres héros de contes pour la jeunesse, les dessins animés de la firme américaine ont marqué profondément l'imaginaire collectif.
Né en 1881 sous la plume de Carlo Collodi (Carlo Lorenzini, 1826-1890) le petit pantin de bois doit son nom à un mot toscan qui signifie pignon (de pin).
Il a connu, avant Disney, de nombreuses illustrations :
et bien sur de multiples adaptations scéniques et cinématographiques.
En 2002, le groupe pop Pooh adapte l'histoire pour en faire une comédie musicale.
Roby Facchinetti, Dodi Battaglia, Stefano d'Orazio et Red Canzian signent paroles et musique.
Voici le début du spectacle tel que retransmis par la RAI en 2007 :
mardi 5 juillet 2011
800ème : La Vie Des Autres
Oscar 2007 du meilleur film en langue étrangère,Prix du meilleur scénario, du meilleur acteur, du meilleur film européen 2006,
7 Deutscher Filmpreis 2006, dont celui du meilleur film,
Prix du Public du Festival de Locarno 2006
BAFTA (UK) du meilleur film étranger 2008
César du meilleur film étranger 2008,
La Vie Des Autres (Das Leben Der Anderen) est un film qui fait date dans l'histoire cinématographique allemande.
Jamais jusqu'alors, un long métrage d'outre Rhin n'avait rencontré un accueil international aussi unanime, aussi bien quant aux prix reçus qu'en fréquentation des salles.
En 2006, le comte Florian Henckel von Donnersmarck (Cologne, 2 mai 1973)
réalise cette vision à la fois romantique et réaliste de feue la RDA, Terre du Paradis Socialiste et de ses anges gardiens de la Stasi.
La musique signée Gabriel Yared et Stéphane Moucha ainsi que l'extraordinaire performance de Ulrich Mühe dans le rôle principal ne sont pas étrangères à ce succès.
7 Deutscher Filmpreis 2006, dont celui du meilleur film,
Prix du Public du Festival de Locarno 2006
BAFTA (UK) du meilleur film étranger 2008
César du meilleur film étranger 2008,
La Vie Des Autres (Das Leben Der Anderen) est un film qui fait date dans l'histoire cinématographique allemande.
Jamais jusqu'alors, un long métrage d'outre Rhin n'avait rencontré un accueil international aussi unanime, aussi bien quant aux prix reçus qu'en fréquentation des salles.
En 2006, le comte Florian Henckel von Donnersmarck (Cologne, 2 mai 1973)
réalise cette vision à la fois romantique et réaliste de feue la RDA, Terre du Paradis Socialiste et de ses anges gardiens de la Stasi.
La musique signée Gabriel Yared et Stéphane Moucha ainsi que l'extraordinaire performance de Ulrich Mühe dans le rôle principal ne sont pas étrangères à ce succès.
scène 1 : installation des micros par la Stasi
scène 2 : plaisanterie sous surveillance
scène 3 : musique et tragédie
S'il était encore besoin de s'en convaincre "La Vie des Autres" nous administre la démonstration éclatante qu'il n'y a pas de cinéma qu'en France ou aux Etats-Unis.
Et nous rappelle que les périodes sombres de l'Histoire sont aussi celles dans lesquelles les individus ont des choix à faire et leur destin entre les mains, contrairement à ce qu'on pourrait croire.
Une histoire d'Hommes quoi, de celles qui donne des chefs d'oeuvres éternels.
lundi 4 juillet 2011
Cékiladam ? 6 - La Dame blanche du Guyana
Cette charmante jeune fille, c'est Janet Rosalie Rosenberg.
Elle est née le 20 octobre 1920 à Chicago (Illinois) dans une famille juive, immigrée de fraiche date.
Après des études para-médicales, elle part au Guyana en 1943, alors colonie britannique, pour travailler comme assistante dans le cabinet dentaire du docteur Cheddi Jagan qu'elle épouse en 1946.
Très vite elle s'implique dans la politique locale naissante et après avoir fondé deux organisations de femmes militantes, elle devient coordinatrice du PPP, le parti de son mari qui réclame l'autonomie du territoire.
Les premiers résultats de leur activisme arrivent dès 1950 quand le docteur Jagan est élu à la mairie de Georgetown, la capitale du Guyana. Janet devient secrétaire générale du PPP et est élue député en avril 1953. Elle est alors portée à la vice-présidence du Parlement.
Le PPP, pro indépendantiste à présent, est majoritaire et forme le gouvernement. Quelques mois plus tard, le cabinet britannique le dissout et fait emprisonner les Jagan.
Les élections de 1957 voient à nouveau la victoire de Cheddi et Janet mais dans un parlement consultatif.
Ce n'est qu'en 1961 qu'ils peuvent diriger à nouveau un gouvernement de plein exercice jusqu'en 1964, à la veille de l'indépendance. Janet occupe successivement plusieurs postes ministériels importants : Travail et Santé puis Intérieur.
Après l'indépendance, et la brouille avec leur ancien partenaire Forbes Burnham, qui devient Premier ministre puis Président de la République, les époux Jagan se cantonnent dans l'opposition et refusent tout ralliement au régime qui dérive vers l'autoritarisme.
Toutefois, en octobre 1992, le PPP remporte le scrutin législatif et présidentiel : Cheddi Jagan est porté à la Présidence. Janet est brièvement ambassadeur à l'ONU, juste assez longtemps pour présider l'Assemblée Générale de 1993.
Cheddi Jagan meurt en fonction le 6 mars 1997 et est remplacé par son Premier Ministre Sam Hinds. Celui ci désigne Janet pour lui succéder.
Lors du scrutin qui suit, en décembre 1997, Janet Jagan devient le 7ème Président de la République du Guyana.
Elle reste en fonction jusqu'au 11 août 1999, démissionnant pour raisons de santé et laissant le pouvoir à l'actuel chef de l'Etat, Bharrat Jagdeo.
Sa santé s'améliorant un peu, elle demeure active au sein du PPP jusqu'à sa mort le 28 mars 2009 à l'Hôpital de Georgetown.
Ainsi disparut la petite infirmière étatsunienne qui est, à ce jour, la seule et unique femme, blanche et juive à avoir dirigé un Etat en Amérique Latine.
Elle est née le 20 octobre 1920 à Chicago (Illinois) dans une famille juive, immigrée de fraiche date.
Après des études para-médicales, elle part au Guyana en 1943, alors colonie britannique, pour travailler comme assistante dans le cabinet dentaire du docteur Cheddi Jagan qu'elle épouse en 1946.
Très vite elle s'implique dans la politique locale naissante et après avoir fondé deux organisations de femmes militantes, elle devient coordinatrice du PPP, le parti de son mari qui réclame l'autonomie du territoire.
Les premiers résultats de leur activisme arrivent dès 1950 quand le docteur Jagan est élu à la mairie de Georgetown, la capitale du Guyana. Janet devient secrétaire générale du PPP et est élue député en avril 1953. Elle est alors portée à la vice-présidence du Parlement.
Le PPP, pro indépendantiste à présent, est majoritaire et forme le gouvernement. Quelques mois plus tard, le cabinet britannique le dissout et fait emprisonner les Jagan.
Les élections de 1957 voient à nouveau la victoire de Cheddi et Janet mais dans un parlement consultatif.
Ce n'est qu'en 1961 qu'ils peuvent diriger à nouveau un gouvernement de plein exercice jusqu'en 1964, à la veille de l'indépendance. Janet occupe successivement plusieurs postes ministériels importants : Travail et Santé puis Intérieur.
Après l'indépendance, et la brouille avec leur ancien partenaire Forbes Burnham, qui devient Premier ministre puis Président de la République, les époux Jagan se cantonnent dans l'opposition et refusent tout ralliement au régime qui dérive vers l'autoritarisme.
Toutefois, en octobre 1992, le PPP remporte le scrutin législatif et présidentiel : Cheddi Jagan est porté à la Présidence. Janet est brièvement ambassadeur à l'ONU, juste assez longtemps pour présider l'Assemblée Générale de 1993.
Cheddi Jagan meurt en fonction le 6 mars 1997 et est remplacé par son Premier Ministre Sam Hinds. Celui ci désigne Janet pour lui succéder.
Lors du scrutin qui suit, en décembre 1997, Janet Jagan devient le 7ème Président de la République du Guyana.
Elle reste en fonction jusqu'au 11 août 1999, démissionnant pour raisons de santé et laissant le pouvoir à l'actuel chef de l'Etat, Bharrat Jagdeo.
Sa santé s'améliorant un peu, elle demeure active au sein du PPP jusqu'à sa mort le 28 mars 2009 à l'Hôpital de Georgetown.
Ainsi disparut la petite infirmière étatsunienne qui est, à ce jour, la seule et unique femme, blanche et juive à avoir dirigé un Etat en Amérique Latine.
samedi 2 juillet 2011
Francesco Tristano
Francesco Tristano est, comme son nom ne l'indique pas, un musicien...luxembourgeois.
De son nom complet Francesco Tristano Schlimé est né le 16 septembre 1981 à Luxembourg où il commence ses études musicales.
Il les poursuit à Bruxelles, Riga et paris avant d'être diplômé de la New York Juilliard School.
Il fait ses débuts en 2000 dans l'Orchestre National Russe avec lequel il enregistre le 5ème concerto pour piano de Prokofiev.
Il oriente ensuite son répertoire vers la musique baroque et réalise avec le New Bach Player Ensemble qu'il a fondé l'enregistrement de l'intégrale des concertos pour clavier de Jean Sébastien Bach en 2001.
Passionné également par la musique contemporaine, il enregistre l'oeuvre complète pour piano de Luciano Berio.
Compositeur lui même, comme le prouve l'extrait suivant,
Francesco accentue encore son originalité en transcrivant pour piano de la musique électronique :
Pour terminer cet article, un morceau qui allie ses deux facettes de compositeur et d'adaptateur puisqu'il a écrit cette pièce avec Derek May pour des appareils électroniques et qu'il les a transcrit pour le piano ensuite :
De son nom complet Francesco Tristano Schlimé est né le 16 septembre 1981 à Luxembourg où il commence ses études musicales.
Il les poursuit à Bruxelles, Riga et paris avant d'être diplômé de la New York Juilliard School.
Il fait ses débuts en 2000 dans l'Orchestre National Russe avec lequel il enregistre le 5ème concerto pour piano de Prokofiev.
Il oriente ensuite son répertoire vers la musique baroque et réalise avec le New Bach Player Ensemble qu'il a fondé l'enregistrement de l'intégrale des concertos pour clavier de Jean Sébastien Bach en 2001.
Passionné également par la musique contemporaine, il enregistre l'oeuvre complète pour piano de Luciano Berio.
Compositeur lui même, comme le prouve l'extrait suivant,
Francesco accentue encore son originalité en transcrivant pour piano de la musique électronique :
Pour terminer cet article, un morceau qui allie ses deux facettes de compositeur et d'adaptateur puisqu'il a écrit cette pièce avec Derek May pour des appareils électroniques et qu'il les a transcrit pour le piano ensuite :
vendredi 1 juillet 2011
Pas fumer...
On le sait, il est très mal vu de fumer en public.
C'est pas bon pour la santé non plus.
Les "créatifs" de la publicité ont laissé libre cours à leur imagination sur ce sujet sensible et politiquement correct.
Attention, je suis contre le tabac, mais la bien-pensence m'agace même pour les bonnes causes !
Et puis, créatifs faut le dire vite : les thèmes sont un rien redondants, non ?
Je prouve :
Allez, pour finir, un spot télé un peu plus original, encore que...
C'est pas bon pour la santé non plus.
Les "créatifs" de la publicité ont laissé libre cours à leur imagination sur ce sujet sensible et politiquement correct.
Attention, je suis contre le tabac, mais la bien-pensence m'agace même pour les bonnes causes !
Et puis, créatifs faut le dire vite : les thèmes sont un rien redondants, non ?
Je prouve :
Allez, pour finir, un spot télé un peu plus original, encore que...
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