Cette chanson de Julio Iglesias n'est pas seulement pour moi un bon souvenir : j'étais en vacances à Palma de Majorque le jour de sa sortie et elle passait en boucle dans les bars gays que nous fréquentions, Jean-Marc et moi !
Non, évoquer l'ancien footballer ibérique c'est pour moi revenir en 1982, pendant une autre villégiature, en Yougoslavie celle-là.
J'y ai fait la connaissance d'une dame d'origine belge, d'une soixantaine d'année, récemment veuve et qui comblait sa solitude par l'évocation permanente du répertoire du divin Julio !
Comme une adolescente fanatique, elle fredonnait inlassablement et citait les textes de ses opus, toujours avec à propos, illustrant avec acuité ce que devait être son état d'esprit du moment, entre mélancolie et tristesse.
Depuis, je pense toujours à elle quand s'élève la voix suave de Jules des Eglises...
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