Arthur Stanley Jefferson, dit Stan Laurel (1890-1965) et Oliver Norvell Hardy (1892-1957) forment à partir de 1917 un duo comique au cinéma sous la houlette de Leo McCarey, réalisateur, et de Hal Roach, le producteur.
Vedettes d'environ 130 courts et moyens métrages, ils acquirent une notoriété mondiale : Hardy ayant le rôle de leader, de celui qui sait, qui réfléchit; Laurel, plus petit et frêle, est maladroit et gaffeur.
Les deux compères ont en commun une poisse qui leur colle aux basques quoi qu'ils entreprennent, une attirance-répulsion-méfiance vis à vis des femmes, et une complicité qui dépasse tous les aléas de l'existence de loosers qu'ils sont contraints de mener.
Leurs aventures - le mot n'est pas trop fort - se soldent immanquablement par des scènes de destruction massive des objets qui leur résistent ou des biens de ceux qui les contrarient.
Des nihilistes, manifestement inspirés par Attila : derrière eux, plus rien ne repousse !
Dans leur cinéma on trouve à peu près tous les gimmics du genre comico-burlesque : exagération des gestes, des conséquences, réactions en chaine catastrophiques...les gags visuels qui émaillent leurs petits films, entre autre la légendaire bataille de tartes à la crème qui ravage une rue entière et la transforme en champ de bataille lacté, sont devenus des références absolues du comique universel.
Laurel et Hardy sont morts dans une quasi misère, comme tous les génies dignes de ce nom...
Vedettes d'environ 130 courts et moyens métrages, ils acquirent une notoriété mondiale : Hardy ayant le rôle de leader, de celui qui sait, qui réfléchit; Laurel, plus petit et frêle, est maladroit et gaffeur.
Les deux compères ont en commun une poisse qui leur colle aux basques quoi qu'ils entreprennent, une attirance-répulsion-méfiance vis à vis des femmes, et une complicité qui dépasse tous les aléas de l'existence de loosers qu'ils sont contraints de mener.
Leurs aventures - le mot n'est pas trop fort - se soldent immanquablement par des scènes de destruction massive des objets qui leur résistent ou des biens de ceux qui les contrarient.
Des nihilistes, manifestement inspirés par Attila : derrière eux, plus rien ne repousse !
Dans leur cinéma on trouve à peu près tous les gimmics du genre comico-burlesque : exagération des gestes, des conséquences, réactions en chaine catastrophiques...les gags visuels qui émaillent leurs petits films, entre autre la légendaire bataille de tartes à la crème qui ravage une rue entière et la transforme en champ de bataille lacté, sont devenus des références absolues du comique universel.
Laurel et Hardy sont morts dans une quasi misère, comme tous les génies dignes de ce nom...
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